Güde – Torchon de cuisine bleu – Torchon de cuisine mi-lin – N° 5860
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- 50 x 100 cm
- 50 % lin & 50 % coton
- très bonne absorption de l’humidité
Le chiffon de fosse de Güde
Ce qui était autrefois connu sous le nom de drap de fosse est aujourd’hui connu sous le nom de torchon. Ce terme d’origine française désigne le torchon de cuisine en lin mélangé, dont aucune cuisine professionnelle ne peut se passer. Qu’il s’agisse de protéger les mains pour toucher des assiettes ou des casseroles chaudes, d’essuyer le bord d’une assiette avant de servir ou de couvrir une pâte levée en train de mûrir, le plus souvent fixé à portée de main sur la veste ou le pantalon du cuisinier, c’est probablement l’un des ustensiles les plus utilisés dans les cuisines du monde entier.
Était-ce le prix, la foi dans le progrès ou la publicité prometteuse qui a érigé le chiffon en microfibres en prétendu sauveur de la cuisine et du ménage ? Pendant longtemps, rien n’a pu arrêter le triomphe des fibres synthétiques, ce qui a entraîné l’éviction progressive d’un matériau autrefois indispensable de la cuisine et de la maison : le lin, une fibre naturelle. Ce qui a été une aide indispensable pendant des générations connaît aujourd’hui une renaissance à une époque où l’on accorde à nouveau plus d’importance à son propre ménage, où l’on cuisine et cuit de plus en plus soi-même.
Ce que des générations ont su apprécier dans la fibre naturelle qu’est le lin …
Le lin est une fibre naturelle obtenue à partir de la plante de lin. Et comme souvent, la nature rend d’excellents services à l’homme pour ce matériau. En effet, le lin ne forme pratiquement pas de peluches et peut très bien absorber l’humidité, mais aussi la restituer tout aussi bien. Cela en fait le tissu parfait pour les torchons. Séché à la main avec un chiffon en lin, ce n’est pas seulement un verre à vin raffiné qui brille comme neuf après chaque lavage. Grâce à son excellente absorption de l’humidité, il ne reste pas de résidus sur les verres, les assiettes et les couverts qui pourraient altérer le goût.
Le retour à l’art de cuisiner chez soi s’accompagne généralement d’un équipement de cuisine plus sophistiqué. Ce qui a été assez bon pendant longtemps ne suffit plus aux exigences des nouveaux fans de cuisine et d’art culinaire. On investit dans de nouveaux couteaux et de nouvelles casseroles, on remplace le verre de la machine par un verre à vin soufflé à la bouche de grande qualité. Il est évident que ce nouvel équipement doit être entretenu et traité en conséquence. Et c’est ainsi que certains se souviennent d’un torchon en lin de qualité supérieure, très absorbant, et en finissent définitivement avec les flûtes à champagne dans lesquelles le champagne ne pétille pas.
Il n’est donc pas étonnant que le lin, matériau traditionnel, soit redécouvert pour la cuisine et la maison et gagne de plus en plus d’amateurs. Et si l’on lave son torchon en lin ou en lin mélangé avec précaution, qu’on l’essore légèrement et qu’on le suspend humide pour le faire sécher, on pourra profiter longtemps de ce précieux auxiliaire de cuisine et de ménage.
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